koïta Assétou

Projet-type

Projet-type

Projet-type

Projet-type

Projet-type

  • Titre du projet :Bande annonce cendrillon
  • Langue source :Anglais
  • Langue cible :Français
  • Texte d'origine :
  • Longueur approximative du texte (en mots, lignes, caractères, comme on veut)
  • Autre participant : étudiant du groupe, informateur, correcteur, etc.
  • Travail sur combien de semaines :
  • Logiciels utilisés :Clip converter, Youtube
  • Lien vers la traduction :
  • je ne comprends pas pourquoi les sous titres sont invisibles,en appuyant sur l'ICONE YOUTUBE vous tomberez directement sur la vidéo contenant les sous titres

Projet-type

J'ai traduis un article du écrit par Will Hutton provenant du site internet Economic the Observer de l'anglais vers le français

L’inégalité est devenue un défi pour nous les britanniques en tant qu’êtres moraux

Le manque d’un minimum d’équité dans notre système économique conduit l'inégalité à des niveaux menaçant la démocratie, le capitalisme et la société civile, affirme Will Hutton dans un extrait de son nouveau livre. La Grande-Bretagne est assaillie par une crise de finalité. Nous ne savons plus qui nous sommes, où nous allons ni même s’il existe un ‘‘nous’’. Le pays est passionnément attaché à son passé glorieux puisqu’il y a si peu de gloire à célébrer à présent. La crise s’est aggravée depuis que l'on nous a dit 30 années durant qu’afin de parcourir le chemin vers le bien-être universel, il nous faut abandonner le progrès de la justice et de l'équité permettant ainsi aux jugements du marché de se poursuivre sans entrave. Les décisions privées sur les marchés sont supposées être à la fois moralement et économiquement meilleures que n’importe quelle action publique ou collective. En conséquence de quoi, se perd le sens du ‘‘nous’’, qui lie une société dans un ensemble et nous donne des raisons d'y appartenir. Nous trouvons le réconfort en cherchant à être le numéro un puisqu’il n’y a aucun sens, ni aucune raison de faire autre chose. La conséquence inévitable est une diminution de l'intégrité publique ainsi qu’une nouvelle insouciance des autres. Ce déficit amoral d'intégrité prend de nombreuses formes. Cela se traduit par l’exorbitante rémunération des cadres, hors de proportion avec l’effort ou la cotisation, par le scandale des écoutes téléphoniques, par l’absence trop fréquente de l’obligation de diligence similaire envers la main-d'œuvre et les clients. Cela se traduit également par la vente indifférenciée et négligée de tant de nos biens publics et privés, par le refus volontaire de trouver des moyens d'investir en nous-mêmes lorsque nous comptons autant sur les étrangers pour relancer nos industries ou construire nos infrastructures. Ce déficit amoral d'intégrité se traduit également par la crise de confiance en nos hommes politiques, par l'acceptation incontestée que nos enfants sont confrontés à un monde pire que celui que nous avons affronté, de la taille de l'hypothèque dont ils auront besoin pour acheter une maison, à la baisse des retraites. Elle se traduit également par la nouvelle hostilité à s'ouvrir aux autres et le zèle à blâmer les étrangers, les travailleurs immigrés et l’Union Européenne pour tant de problèmes qui nous sont propres. Cela est d’autant plus tragique que si nous étions capables de retrouver notre objectif et notre intégrité, tout en faisant avancer un ensemble de réformes possibles, la Grande-Bretagne pourrait être l’un des meilleurs pays au monde. Il s’y passe bien des choses dans ce pays, des grandes universités qui s’engagent dans des recherches importantes, à la croyance profondément ancrée en la prééminence du droit; d’une entraînante culture entrepreneuriale, au sens de la justice sociale. Lorsqu’il se produit la découverte d'un objectif et que l'unité est recouvrée, comme lors des Jeux Olympiques de 2012, nous nous surprenons par notre bonté. L’inégalité est le principal obstacle à la revisualisation d’un sens du ‘‘nous’’, et avec ceci, d'une vision partagée, d’une ambition et d'un but pour le pays qui est la condition essentielle pour les vastes réformes nécessaires. L’inégalité peut être comparée à un cancer à croissance lente mais non traité; il peut s’accroître avec peu d'effets apparents pendant une longue période tandis que le patient vit dans une heureuse insouciance. Parfois il peut y avoir des faiblesses et des plaintes qui suggèrent que quelque chose a échoué, mais d'autres explications moins alarmantes que le cancer semblent à la fois plus probables et réconfortantes. Puis, soudainement, le cancer commence à produire des métastases avec des effets catastrophiques, mais il est trop tard pour arrêter sa propagation désormais évidente, et les conséquences sont souvent fatales. Les sociétés, contrairement aux individus, ne meurent pas. Mais le cancer de l'inégalité produit des résultats tout autant catastrophiques. La confiance s’évapore. Il n'y a aucun sens du but commun. La créativité citoyenne, économique et l’interaction politique ainsi que la délibération deviennent impossibles. Le capitalisme se détruit et cesse d'innover. Les électeurs deviennent vulnérables au populisme extrême de gauche ou de droite. […] Les sociétés où la chance brute détermine les modes de vie, que ce soit une chance d'hériter ou d'être investi d'extravagantes stock-options disproportionnées, ne sont pas seulement injustes, elles deviennent non fonctionnelles et instables. La Grande-Bretagne a la capacité d'être véritablement un grand et innovant pays dans lequel la masse de ses citoyens prospère et ses entreprises sont à la pointe de la nouveauté. Il y a beaucoup de bonnes choses sur lesquelles s'appuyer. Mais cela nécessite une vision et des objectifs partagés et renouvelés afin de lancer les réformes nécessaires et prendre le pas sur les intérêts de ceux qui bénéficient de la manière dont les affaires sont actuellement organisées. Cela ne peut pas être accomplit si nous ignorons et cédons à l'inégalité.

Projet-type

J'ai traduis un article du écrit par Paul Krugman provenant du site internet Economist' view de l'anglais vers le français

Quand les chômeurs deviennent fainéants

La semaine dernière, lors de l’American Enterprise Institute, le Président de la Chambre des Représentants aux Etats-Unis, John BOEHNER expliquait aux visiteurs les raisons de la stagnation du chômage en Amérique : « la fainéantise » rapport-il. Les gens ont cette idée reçu du « je n’ai pas pour obligation de travailler, je n’en ai pas réellement envie, je pense que je devrais laisser cela de coter ». C’est probablement la première fois qu’un éminent conservatif s’exprime à ce sujet. Depuis que nous sommes entrés en récession à cause de la crise financière, cela a été une répétition continuelle à droite, le sujet se portant sur les chômeurs qui ne luttent pas assez et qui restent d’humeur sereine grâce aux généreuses allocations chômage qui sont sans cesse vues comme étant le moyen de payer les gens à ne rien faire. Ainsi l’empressement de blâmer les victimes d’une économie qui tourne au ralenti a prouvé des contradictions à la logique ainsi qu’aux preuves. Pourquoi existe-t-il autant d’animosité à l’encontre des sans-emplois, une si grande conviction sur le fait qu’ils sont étrangers à certaines choses au moment même où ils sont durement traités avec une ardeur sans précédent ? De nos jours, comme tous ceux qui ont étudié la politique britannique durant la famine en Irlande le savent, la cruauté bien-pensante envers les victimes de catastrophes, en particulier lorsque la catastrophe se poursuit sur une longue période, est chose commune dans l'histoire. Pourtant, les républicains n’ont pas toujours été comme ça. Dans les années 1930, ils ont dénoncé le « New Deal » et ont appelé à des solutions de libre marché. Pourtant lorsque Alf L LANDON a acceptée l’investiture présidentielle en 1936, il a également insisté sur le «devoir ordinaire des soins» pour les chômeurs jusqu'à ce qu’ils retrouvent un emploi. Pouvez-vous imaginer que se reproduise une pareille situation à la GOP (Grand Old Party), un parti républicain américain d’aujourd’hui ?

Est-ce une course ? Cela reste une hypothèse à considérer dans la Politique Américaine. Il est vrai que la plupart des sans-emplois sont d’origine caucasienne et ils représentent une part considérable parmi ceux qui reçoivent les allocations chômages. Mais ce que les conservateurs ne savent pas c’est qu’ils ne devraient pas considérer des sans-emplois comme vaguement défini, une foule à la peau foncée vu comme des « ramasseurs d’argent publique ». Je pense, cependant, que cela se réfère principalement à la boucle fermée de l’information du droit moderne. Dans une nation où la base républicaine retient ce qu'il pense être des faits de la part de Fox Nouvelles et Rush LIMBAUGH, où l'élite du parti retient ce qu'il imagine être l'analyse des politiques venant de l'American Enterprise Institut ou encore du « Heritage Foundation », le droit à la vie de son propre univers intellectuel, n’ont conscience ni de la réalité du chômage, ni de ce à quoi ressemble la vie des sans-emplois. Vous pourriez penser que votre expérience personnelle serait encore poussée, mais cela ne semble pas être le cas (presque tout le monde à des connaissances ou des parents qui ne trouvent pas du travail) . Peu importe l’explication, Monsieur BOEHNER exprimait clairement ce que lui et toutes les personnes autour de lui pensent réellement, ce qu’ils se disent les uns aux autres lorsqu’ils ne s’attendent pas à être entendu par autrui. Certains conservateurs ont essayé de changer leur image, en faisant preuve de sympathie envers les moins fortunés. Mais en réalité ce que leur parti croit réellement est que si vous êtes pauvre ou sans-emploi, cela est entièrement de votre faute.

Projet-type

  • Titre du projet :Marry you
  • Langue source :anglais
  • Langue cible :français
  • Texte d'origine :
  • Longueur approximative
  • Autre participant : 1
  • Travail sur combien de semaines :
  • Logiciels utilisés :windows movie maker et youtube,la vidéo originale étant un clip officiel à été bloqué

par youtube j'ai donc fait un montage en gardant uniquement le son

  • Lien vers la traduction :

Projet-type

  • Titre du projet :Avatar bande annonce
  • Langue source :Anglais
  • Langue cible :Français
  • Texte d'origine :
  • Longueur approximative du texte (en mots, lignes, caractères, comme on veut)
  • Autre participant : étudiant du groupe, informateur, correcteur, etc.
  • Travail sur combien de semaines :2
  • Logiciels utilisés :Subtitle Edit
  • Lien vers la traduction :

*je ne comprends pas pourquoi les sous titres sont invisibles,en appuyant sur le l'ICONE YOUTUBE vous tomberez directement sur la vidéo contenant les sous titres

Conclusion

Je ne comprends pas pourquoi les sous titres ne sont invisibles uniquement lorsque l'on appuie sur l'ICONE YOUTUBE, je ne suis pas parvenu à régler ce problème!J'ai également rencontré quelques difficultés avec google toolkit ainsi que windows movie maker, j'ai également traduit une vidéo avec Subtitle Edit mais malheureusement j'ai rencontré trop de paramètres négatifs sur Youtube au moment de syncronisation avec le fichier SRT , j'ai donc abandonné le projet en cours car la vidéo était dite privée.Concernant ma page traduite sur wikipédia il j'ai utilisé une autre image dans l'info box que celle d'origine. Pour ce semestre j'ai également traduit 2 articles en ligne de l'anglais vers le français, cela m'a paru comme étant une bonne idée et me changeait des activités faites habituellement. Dans l'ensemble je suis assez satisfaite de mes travaux.