Mathilde Cadet

PROJETS

Projet 1

Projet 2

Projet 3

Projet 4

Projet 5

Projet 6

  • Titre du projet : Traduction d'une page du site internet d'un club de canoë kayak afin de toucher la clientèle étrangère
  • Langue source : Français
  • Langue cible : Anglais
  • Longueur approximative du texte : 700 mots
  • Temps de travail : 4 heures
  • Logiciels utilisés : WordReference et son forum. J'avais commencé à travailler avec Google Translator Toolkit, mais cela s'est avéré de très mauvaise qualité, j'aurais du tout reprendre depuis le début, Google Translator Toolkit n'ayant pas de glossaire adapté au vocabulaire du tourisme.

Projet 7

  • Titre du projet : Traduction d'une page du site internet d'un club de canoë kayak afin de toucher la clientèle étrangère
  • Langue source : Français
  • Langue cible : Allemand
  • Longueur approximative du texte : 700 mots
  • Temps de travail : 4 heures
  • Logiciels utilisés : Reverso et son forum. J'avais commencé à travailler avec Google Translator Toolkit, mais cela s'est avéré de très mauvaise qualité, j'aurais du tout reprendre depuis le début, Google Translator Toolkit n'ayant pas de glossaire adapté au vocabulaire du tourisme.
COMPTE-RENDU

Ma langue maternelle est le français. Je suis en LLCE Anglais/Allemand. Je peux donc traduire vers l'anglais et l'allemand.

Je m'intéresse beaucoup aux langues et à la traduction et notamment à la traduction littéraire. Je me suis inscrite à cette option alors que je ne suis pas une grande amatrice d'informatique. Mais cela ne représente finalement pas un obstacle à la compréhension et à l'appropriation des cours de cette option, car telle qu'elle est présentée, elle est abordable par le plus grand nombre. Je considère que cette option aura été enrichissante pour mon parcours professionnel dans le monde des langues et de la traduction.

En effet, je me suis inscrite à cette option en pensant qu'elle m'aiderait à découvrir des outils informatiques aidant à la traduction, et ça a été le cas. J'ai appris à me servir de logiciels et de dictionnaires en ligne que je ne connaissais pas auparavant. Certains sont plus faciles et pratiques d'utilisation que d'autres, certains sont plus performants et précis que d'autres, mais dans l'ensemble, ils constituent tous une aide assez précieuse et un gain de temps parfois considérable dans le travail de traduction. Les dictionnaires (spécialisés ou pas) en ligne sont plus rapides d'accès que les dictionnaires papier. Le Google Translator Toolkit est par exemple très pratique et représente un véritable gain de temps, composant essentiel et pourtant limité dans le monde de la traduction. J'aurai découvert de nouveaux supports de traduction également, comme par exemple le logiciel Subtitle Edit, assez pratique d'utilisation une fois qu'on l'a bien assimilé. J'utiliserai peut-être moins les glossaires que les dictionnaires, car ceux-ci, bien que pratiques, correspondent plus à une utilisation dans le cadre d'une traduction moins littéraire que spécialisée, et requièrent une idée déjà assez précise de ce que l'on cherche pour pouvoir trouver un terme qui nous intéresse et nous aide. Cette option m'aura également donné plus d'aisance avec les dictionnaires que j'utilisais déjà, à savoir WordReference par exemple, en m'apprenant l'existence de forums de discussion sur lesquels on peut demander un avis sur un problème de traduction à d'autres utilisateurs. Les autres utilisateurs parlent parfois la langue dans laquelle nous avons un soucis ; des natifs ont toujours plus de sensibilité dans leur propre langue que nous, qui devons traduire vers ou depuis une langue qui n'est pas la nôtre.

Le fait de traduire en “communauté” sur internet sensibilise aussi au travail d'équipe et conduit à l'amélioration voire au perfectionnement de la traduction. Je trouve qu'il est agréable, valorisant et gratifiant de se dire qu'on a participé à la diffusion au plus grand nombre de tel ou tel document sur internet. On se sent véritable acteur de ce qu'il se passe sur le net, on n'est plus seulement utilisateur. Traduire un sous-titre, une chanson, un article, c'est souvent rendre service à la personne propriétaire de ce document, en lui permettant d'y donner accès à plus de monde. Un bon côté d'internet !

Je pense que cette option peut donc intéresser une grande population, car elle présente un large panel de logiciels, dictionnaires, plate-formes et autres aides à la traduction en ligne. On peut donc choisir de s'approprier ceux que l'on préfère. Ces différentes aides découvertes lors de ce TD Traduction et Informatique permettent donc parfois d'avoir une traduction plus riche, plus sensible et plus idiomatique, une traduction qui correspondra donc mieux aux attentes du monde de la traduction.