Cléonice (Sao Paulo) Cédric (Lyon)

Synthèse bilingue Lingalog

O apredizagem duma lingua estrangeira L’apprentissage d’une langue étrangère

1/ Pourquoi apprendre une langue étrangère ?

Les raisons d’apprendre une langue sont nombreuses à tel point qu’il serait difficile d’en faire une liste exhaustive. Aussi tenterons-nous d’inclure ici-bas les raisons les plus fréquentes. Nous pouvons distinguer cependant deux motivations différentes  dans l'apprentissage d’une langue, la première est une volonté personnelle pour diverses  raisons (qui seront énumérées ci-dessous), la seconde est un choix non personnel mais imposé, vécu comme tel ou sans que cela ne soit une contrainte (là aussi nous en verrons les diverses raisons). Afin de bien illustrer les propos, nous avons repris bon nombre de commentaire des étudiants ayant participé aux échanges sur lingalog. Quoi qu’il en soit, on peut affirmer que plus votre raison d’apprendre une langue sera précise et définie, plus votre motivation et votre implication lors de l’apprentissage sera grande.

a) Volonté personnelle

L’apprentissage d’une langue étrangère est parfois vu comme une contrainte, puisque imposée par l’école. Mais il est beaucoup d’étudiants, pour qui apprendre une autre langue est un choix personnel rationnel. Pour certains comme le révèle Aparecida, ou encore Julien, c’est par passion :

Aparecida : « gosto muito e tenho paixão pela língua. »

Julien : « Pour ma part j'ai découvert le portugais mais également le Portugal un peu par hasard. Et comme on dit en français, la rencontre a été un véritable “coup de foudre”. Ma visite à Lisbonne à l'été 2006 m'a fait découvrir sans doute la plus belle capitale d'Europe , mais également une joie de vivre et m'a fait ressentir un vrai sentiment de plénitude , jamais éprouvé jusqu'alors. A mon retour en France , j'ai donc décider de m'inscrire en Portugais. »

L’apprentissage d’une langue étrangère est aussi une anticipation quant à des projets dans l’avenir :

Julien : « J'ai pas mal de projets pour mon avenir avec biensûr dans l'idée peut être un jour de vivre dans ce magnifique pays (le Portugal)… »

Sam : « Mais aussi pour des fins professionnels puisque je veux travailler comme interprète. Ce serait utile en Algérie parce que le portugais n'est pas enseigné. Je pourrai donc travailler avec l'ambassade du Brésil en Algérie! » Claire : « j'ai choisi d'apprendre le portugais pour découvrir cette langue, aussi parce que j'aimerai bien aller en Amérique Latine et qu'un des pays les plus “important” là-bas me parait le Brésil et aussi parce que je déteste l'anglais et que nous sommes obligés de choisir une langue étrangère à la faculté!! »

Certains vont décider d’apprendre une langue pour son aspect linguistique comme Elisangela : « Adorei a lingua francesa, a cultura e além disso é uma lingua derivada do latim como o português. Por esse motivo resolvi estudar francês. » A ce titre, la sonorité agréable de certaines langues peut aussi s’avérer être la motivation de certains.

Apprendre une langue étrangère, c’est s’ouvrir aux autres nous disent quelques-uns. En effet, même dans son pays natif, il est intéressant d’apprendre une nouvelle langue afin de rencontrer des personnes étrangères. Dans cet ordre d’idées, l’apprentissage d’une langue étrangère permet de découvrir une autre culture.

Lucie : « Mais c'est aussi une façon de rencontrer plus de gens, de pouvoir communiquer plus facilement avec des personnes d'autres pays, régions, ou continents et d'échanger des façons de vivre, des idées… »

Venise : « une autre langue, je dirai que c'est avant tout un nouvel univers, une nouvelle culture, un nouveau mode de vie. une autre façon d'apréhender les choses en fait! »

Alexia : « Ils ne s'imaginent pas qu'aujourd'hui, la connaissance des langues étrangères est primordiale, quasi vitale. Cela permet de voyager, de découvrir d'autres cultures, d'échanger avec des personnes d'autres horizons. Surtout avec l'ouverture des frontières, il est très facile de nos jours de partir à l'étranger, même le temps d'un week-end! »

b) Contrainte

Comme je le disais un peu plus haut, l’apprentissage d’une langue peut être vécu comme une contrainte, comme nous en font part Alexia, et Claire :

Alexia : « En général, en France, on commence d'apprendre une langue étrangère un peu par obligation: au collège, on doit choisir une 1ère langue en 6e et une seconde en 4e. Et malheureusement, beaucoup de collégiens ne voient pas l'intérêt de ces apprentissages. (On peut aussi s'interroger sur l'enseignement! ) Ils ne s'imaginent pas qu'aujourd'hui, la connaissance des langues étrangères est primordiale, quasi vitale. »

Claire j'ai choisi d'apprendre le portugais pour découvrir cette langue, aussi parce que j'aimerai bien aller en Amérique Latine et qu'un des pays les plus “important” là-bas me parait le Brésil et aussi parce que je déteste l'anglais et que nous sommes obligés de choisir une langue étrangère à la faculté!!

Cette contrainte peut être dissimulée ou encore être si pesante au point que ça ne devient plus une contrainte, ou que cette contrainte n’en soit pas vécu comme telle. Je pense notamment à l’anglais. On retrouve très souvent dans les discours des gens « l’anglais c’est primordial aujourd’hui ». Une telle pression est exercée que l’anglais va être appris par certaines personnes pour le seul fait que ça ouvre des portes. On peut se demander alors s’il s’agit réellement d’une motivation personnelle, ou d’une contrainte tellement dissimulée que l’on n’en a pas conscience.
Le choix d’apprendre une nouvelle langue apparaît souvent dans le cadre professionnel. En remontant dans l’histoire, on voit qu’il y a déjà très longtemps des missionnaires ou religieux apprenaient les langues indigènes afin de leur enseigner le christianisme. Dans le même esprit, certains vont apprendre des vieilles langue pour mieux comprendre des livres saints, comme le sanskrit pour les bouddhistes.

Aujourd’hui, les contacts et partenariats que peuvent entretenir des entreprises avec des firmes étrangères sont tels qu’une ou deux langues en plus de sa langue native est demandé souvent par les employeurs (ça dépend bien évidemment du secteur d’activités).

Alessandra : « No aspecto profissional, as línguas mais importantes no Brasil hoje são inglês e espanhol. »

Elisangela : « Aqui no Brasil infelizmente o francês não é tão valorizado quanto inglês e o espanhol, mas tenho algumas amigas que estão trabalhando em empresas de origem francesa, onde o idioma francês é muito valorizado. Apesar das dificuldades, acredito que ter o francês no curriculum é um diferencial para o mercado de trabalho.»

Vous serez contraint d’apprendre une langue si vous émigrer pour quelque raison que ce soit. Que ce soit définitif ou temporaire, votre séjour à l’étranger va vous contraindre à apprendre la langue en question. D’une part, cela aide à s’intégrer, mais aussi à comprendre des codes qui pourraient nous échapper, et à s’imprégner de la culture (comme on l’a déjà vu dans la première partie ci-dessus). 
Finalement on peut dire que contrainte et choix personnel ne dépendent finalement que de nos motivations personnelles, mais aussi de l’implication et la motivation que l’on met dans l’apprentissage de la langue.

2/ Dificuldades para aprender uma lingua estrangeira

ESTRATÉGIAS DE APRENDIZAGEM:

Quando o ser humano aprende a língua materna, desenvolve habilidades naturalmente e bem sucedidas, através do ambiente em que vive, em contato com outras pessoas, ao realizar suas tarefas. Com a aprendizagem da língua estrangeira, a situação não é a mesma. O adulto, que desenvolve todo um sistema lingüístico relacionado com sua própria língua, tem dificuldades de aprender a língua estrangeira fora do contexto onde aquela língua é falada. Sabe-se que existem pessoas que tem aptidão para aprender melhor a língua estrangeira do que outras, mesmo em ambiente não real, como a sala de aula. Estudiosos têm pesquisado sobre as estratégias de aprendizagem que esses “bons estudantes de línguas” desenvolvem para que, conscientes dessas estratégias, outros possam desenvolver, também, essas habilidades. Para se aprender bem um idioma, o aluno deve ser:

Participante ativo: a) Aproveitar as oportunidades; b) Adicionar atividades relacionadas com a aprendizagem ao programa regular; c) Procurar atividades práticas, por exemplo, repetir, memorizar, escrever palavras; d) Identificar seus problemas relacionados com a aprendizagem e sabe lidar com eles; e) Mudar de propósito de uma atividade para se concentrar na língua, por exemplo, assistir a filmes não pela história, mas para escutar a língua.

Conscientizar-se de que a língua é um sistema: a) Comparar a língua nativa com a língua estrangeira; b) Analisar a língua que está aprendendo, usando pistas para predizer e inferir; c) Desenvolver técnicas de aprendizagem que façam uso da língua como sistema. Ex: quando se procura palavras no dicionário deve-se associá-las a um campo semântico;

Conscientizar-se de que a língua é um meio de comunicação: a) Nos primeiros estágios o bom estudante se concentra mais na fluência do que na produção correta; b) Procura situações onde possa se comunicar. Ex: Conversa com nativos, faz parte de grupos de discussões, tem correspondentes em outros países; c) Observa que a língua sobre influência da cultura e tem cuidado com certas expressões, que para o nativo de língua estrangeira, são essenciais na produção da língua.

Sabe lidar com as necessidades afetivas: a) Saber ultrapassar sua timidez e não ter medo de cometer erros; b) Sabe rir dos próprios erros, ter senso de humor; c) Continua a estudar, embora muitas vezes esteja cansado ou chateado.

Faz sua própria monitoração: a) Revisar e testar interferências, procurando ajustes ou perguntando; b) Aprender através dos próprios erros.

DIFERENTES SISTEMAS DE APRENDIZADO

Fonética e Fonologia

Não é pacífica na literatura lingüística contemporânea a distinção entre os termos fonética e fonologia. Coube à Lingüística Estruturalista, cujo apogeu permeou grande segmento do século passado, cuidar dessa distinção, embora em tintas pouco nítidas e não raro ofuscadas por opiniões contraditórias. Em tese, cabe à fonética estudar e descrever os sons da linguagem humana, ao passo que à fonologia, também denominada fonêmica pela corrente de estudos norte-americanos, cumpre o estudo dos fonemas, assim entendidos como unidades fonológicas distintivas e abstratas. Ao pronunciar a palavra tatu, por exemplo, o fonema inicial /t/ pode articular-se mediante contato da língua com os dentes superiores ou com os alvéolos. Também pode o /t/ ser articulado com maior ou menor explosão expiratória, de que resulta a emissão de um /t/ plosivo ou um /t/ oclusivo. Tais diferenças articulatórias certamente resultam em percepções acústicas distintas, ou seja, o som resultante de cada articulação não é exatamente igual ao de outra, mas semelhante distinção não tem qualquer valor significativo para o falante do português. Em todos os casos, seja com /t/ plosivo dental ou com /t/ oclusivo alveolar, o falante julgará estar ouvindo o mesmo som. A irrelevância dessas variações se deve ao fato de que não têm valor distintivo no quadro geral dos fonemas portugueses, isto é, seja qual for a pronúncia do /t/ acima descrita, para a comunidade de falantes ela se relaciona a uma mesma imagem acústica dotada de valor funcional no sistema fonológico da língua.

OS SONS DA FALA

Os sons da fala resultam quase todos da ação de certos órgãos sobre a corrente de ar vinda dos pulmões. Para a sua produção, três condições se fazem necessárias: A corrente de ar Um obstáculo encontrado por essa corrente de ar Uma caixa de ressonância Estas condições são criadas pelos os órgãos da fala, denominados, em seu conjunto, aparelho fonador.

APARELHO FONADOR:

Constituído por: Os pulmões, os brônquios e a traquéia – órgãos respiratórios que fornecem a corrente de ar; A laringe, onde se localiza as cordas vocais, produzem a energia sonora utilizada na fala; As cavidades supralaríngeas (boca, faringe e fossas nasais), funcionam como caixa de ressonância da fala.

Observação: Quase todos os sons de nossa fala são produzidos na expiração. A inspiração normalmente funciona para nós como um instante de silêncio, um momento de pausa na elocução. Cabe aos pulmões oxigenar o sangue, enquanto órgão do aparelho respiratório, mas também, subsidiariamente, é este órgão que expele a corrente de ar necessária para produzir a voz; já as cordas vocais, que podem parecer a princípio elementos destinados unicamente à produção da fala, na verdade cumprem papel básico de evitar (se fechadas) a passagem de alimentos pela traquéia. Quanto aos demais elementos que participam do aparelho fonador, a maioria situada na boca, como lábios, dentes, língua, etc., evidencia-se que seu papel primacial é como integrantes do aparelho digestivo. Desta constatação resulta concluir que o homem, no processo evolutivo da espécie, adaptou órgãos dos aparelhos respiratório e digestivo para produzir a fala. Isso prova, inequivocamente, que a capacidade de expressar-se por meio de sons articulados e bastante posterior ao surgimento do homem como animal À fonética tem-se atribuído o papel de estudar os sons da linguagem humana do ponto de vista material ou físico, descrevendo detalhadamente como eles são produzidos e quais são seus efeitos acústicos. A fonologia cuida do papel que tais sons desempenham num dado sistema de uma língua particular: se têm ou não valor distintivo em face de outros sons, se podem ocorrer em qualquer posição silábica ou estão restritos a dada vizinhança fonêmica etc. Por esse motivo, não é plenamente correto falarmos de uma fonética do português, do francês ou do italiano, porém de uma fonologia do português, do francês etc., visto que o estudo dos sons da linguagem humana em seu aspecto físico independe dos sistemas fonológicos a que pertencem. Percebe-se não haver uniformidade ou distinção clara entre os termos fonética e fonologia na história dos estudos gramaticais brasileiros. Os gramáticos do século XIX, por exemplo, não estabeleciam distinção conceptual entre as denominações, porém mera relação de continência em que fonologia, via de regra, inscrevia-se no amplo campo de investigação abrangido pela fonética.

Neutralização fonêmica

Sabemos que o conceito mais acatado de fonema está vinculado ao Princípio da Oposição, que devemos à Lingüística estrutural. Com efeito, o fonema só é entendido como entidade autônoma significativa por que se distingue de outro dentro do mesmo sistema fonológico. Assim, o /d/ é um fonema sonoro do português por que a ele opõe-se o correspondente surdo /t/. Há situações, entretanto, em que a distinção entre fonemas deixa de ser um fato relevante para o falante da língua. Tome-se, por exemplo, a palavra paz. A pronúncia dessa palavra nas diferentes regiões geolingüísticas brasileiras varia bastante devido à consoante final: [pAž], [pAš], [pAs]. Verifica-se, pois,. que as consoantes /ž/, /s/ e /š/, em final de sílaba, perdem distinção entre si; a este fato denomina-se neutralização de traços distintivos. O mesmo ocorre com respeito às vogais átonas finais portuguesas. A pronúncia de rede, por exemplo, pode ser [′Rede] ou [Reďi]. Observe-se que a alternância ente /d/ e /ď/ se dá entre um fonema e um alofone, já que /d/ e /ď/ jamais se distinguem entre si no sistema fonológico do português. Já a alternância entre /e/ e /i/ finais não pode ser atribuída a uma alofonia, visto que constituem fonemas distintos em nossa língua, como se percebe em cedo e sido. Assim, conclui-se que /e/ e /i/ átonos finais sofrem neutralização de traços distintivos, já que suas diferenças articulatórias não são pertinentes nessa posição da cadeia fônica vocabular. O mesmo se pode dizer de /o/ e /u/ átonos finais. Quando, por necessidade de descrição, referimo-nos a todas as possibilidades de pronúncia decorrentes de uma neutralização fonêmica, optamos pela transcrição de um arquifonema, assim entendido como uma entidade abstrata resultante da neutralização. Assim, o arquifonema /S/ resulta da neutralização de /s/, /ž/, /š/ e /z/ finais. Não se há de confundir entre neutralização fonêmica e inocorrência de um dado fonema na cadeia fônica vocabular. No caso das vogais átonas finais portuguesas, por exemplo, podemos relacionar dois arquifonemas e uma vogal: /I/, /U/ e /A/, os primeiros resultantes, como já se disse, da neutralização de /e/ com /i/ e de /o/ com /u/, respectivamente. Já as vogais /ε/ e //, se átonas, simplesmente não têm registro em sílaba final, tendo em vista o padrão prosódico do português. Por esse motivo, não é certo atribuir a inocorrência de /ε/ e // a um efeito da neutralização, senão a mera impossibilidade de ocorrência.

A IMPORTÂNCIA DA PRONÚNCIA

Domínio sobre a língua falada começa com o entendimento oral, e este começa com o reconhecimento das palavras contidas no fluxo de produção oral. Conseguir isolar cada conjunto de fonemas correspondentes a cada unidade semântica (palavra), dentro da seqüência ininterrupta de sons no fluxo da produção oral, é um desafio considerável. Aquele que fala uma única língua invariavelmente acredita que os sons de sua língua correspondem a um sistema básico universal de sons da fala do ser humano. Esta idéia preconcebida normalmente prevalece ao longo do aprendizado da língua estrangeira e, enquanto persistir, interfere negativamente na percepção e na produção oral do estudante. Em seu artigo James Emil Flege escreve que, “Estudantes de idiomas que acreditam ouvir na língua estrangeira sons quase idênticos aos da língua materna (apesar de talvez reconhecerem pequenas diferenças fonéticas entre as duas línguas) irão basear sua pronúncia ao longo do processo de aprendizado num modelo acústico resultante de pares de sons semelhantes das duas línguas, em vez de baseá-la no modelo acústico específico da língua estrangeira, assim como ocorre no aprendizado da língua materna. “ Segue abaixo relatos de alunos brasileiros e franceses, retirados do site LINGALOG , que assim como muitos outros estudantes de idiomas encontram algumas dificuldades para aprender e se expressar no idioma estudado:

Elaine Para mim, o que é mais difícil na aprendizagem de outro idioma é a fala. Eu não sei como treinar a conversação

Gimena Et oui…effectivement le portugais n'est pas facile du tout! Déjà il y a la conjugaison des verbes, les accords, et surtout (et c'est ce que je trouve le plus difficile) la prononciation! C'est une langue tellement musicale que j'ai du mal à réproduire les tons!

Claire Pour ma part, l'oral est très difficile à comprendre, vous enlevez toutes les voyelles à la fin des mots! Alors qu'à l'écrit, on arrive plus à trouver les racines des mots, ses origines etc…

Elisangela O portugues falado aqui no Brasil tem algumas diferenças com relação ao que é falado em portugal. Algumas palavras tem significado diferente em cada país. Se a pessoa desconhecer tais particularidades, pode ter problemas para se comunicar

Alessandra Eu percebo que quanto mais você aprende uma língua, as outras vão ficando mais fáceis

Gimena Là, j'essaie d'ecouter beaucoup de choses en portugais, j'ecoute des radios brésiliennes, des chaines tv, et beaucoup de chansons que j'aime bien, je les ecoute avec les paroles, comme ça je peux voir ce qui est écrit et comment il faut les prononcer. Sinon, je vais une fois par semaine parler avec une brésilienne; je pense que tout ça fait partie des méthodes pour essayer de “vivre” cette langue de plus prés!

Venise quand j'essaie de parler portugais (chez moi, jamais en comité public!) je me rend compte que l'accentuation est vraiment hum.. difficile!

Elaine Descobri que o que falta para mim é elevar a minha auto-estima e estudar mais um pouquinho.

Elaine Passei vários semestres pensando que eu não conseguiria aprender esse idioma tão diferente, porém neste comecei a dedicar-me muito mais ao estudo do francês. Com isso, as minhas dificuldades diminuíram e eu me apaixonei por ele, contudo, a cada dia, descubro que conheço muito pouco sobre esse novo idioma e que preciso estudar mais e mais.

Portanto, qualquer estudo de diferenças fonéticas entre inglês, português ou francês bem como o estudo da correlação entre a ortografia e a pronúncia, mesmo que superficiais, servem de evidência de que não há aprendizado de idiomas se não houver intenso contato com a língua na sua forma oral. BIBLIOGRAFIA

- CUNHA, Celso. Nova Gramática do Português Contemporâneo: Fonologia e Fonética, cap.3, 4ª impressão.

- Gardellha, Isabel Maria Brasil. Inglês Instrumental: leitura, conscientização e prática. Teresinha: EDUFPI, 2000

- http://www.filologia.org.br/abf/volume1/numero1/03.htm

- http://forums.lingalog.net/privmsg

- http://www.monsejourlinguistique.com/

- http://alsic.u-strasbg.fr/