Le petit Nicolas
Nicolas mène une existence paisible, il a des parents qui l'aiment, une bande de chouettes copains avec lesquels il s'amuse bien, et il n'a pas du tout envie que ça change. Mais un jour son copain Joachim arrive à l'école annonçant aux copains la terrible nouvelle “J'ai eu un petit frère!” Finis les bonbons, bonjour les ennuis pensent-ils. Peu de temps après, Nicolas surprend une conversation entre ses parents “Et Nicolas qu'est-ce-qu'on en fait?” Nicolas panique et imagine le pire…
Le générique de fin est interprété par le chanteur Renan Luce : On n'est pas à une bêtise près.
Pour la re-écouter :
un peu de vocabulaire ou d'argot...
Voici quelques expressions argotiques ou familières qu'on peut entendre dans le film et la chanson :
fayotter (verbe) : faire du zèle pour se faire bien voir
ça fait un bail : ça fait longtemps!
peinard (adjectif) : tranquille
prendre du galon (verbe) : monter en grade, prendre de l'avancement
rupin (adjectif) : riche
un frangin de mandales : quelqu'un en compagnie de qui, on donnait ou recevait, des gifles, des coups (une mandale est une claque)
truander (verbe) : ne pas respecter les règles
une bricole (nom) : une bricole est une petite chose sans valeur, ici elle a le sens de bêtise, de petits ennuis