Os contos populares brasileiros et seus personagens

  • Marie Grenet
  • Numero de estudante: 2091091
  • “mariegr” sobre lingalog
  • Primeiro semestro de ano 2011

Introdução

O conto e as lendas são um importante parte da cultura de um pais. Com efeito, o conto é uma maneira de transmitir a mémoria popular, conhecimentos, uma educação e uma sabedoria. Conhecer os contos de um pais permite de compartilhar «uma visão do mundo» (Malinowski, 1922, Les argonautes du Pacifique Occidental, p:71).

Assim, gostaria de apresentar este topico sobre atraves tres dimensões, por ficar fiel ao costume francês. Primeiro, vou tentar de resumir a historia do conto brasileiro atraves três artigos antropologicos falando de seus aculturações e seu distribuição. Depois, eu reuni transcrições de contos de maneira oral e escrivida porque os contos têm tres dimensões: eles podem ser lido, ouvido ou experimentado. Recolhi as lendas do Saci Perere, da Cuca et dois contos do Nordeste com um menino: O menino e o padre e O menino, o burro e o cachorro. Finalmente, eu vou apresentar a mais celebres personagens do folclore brasileiro graças a um vidéo.

Este topico pode pertencer aos temas (palavra-chave, key-word):

  • O conto brasileiro
  • As lendas brasileiras
  • As historias orais
  • A memoria popular
  • O folklore brasileiro e seu personagens
  • O saci perere
  • A cuca

A historia e a transmissão oral do conto

A relação entre a tradição oral africana e o conto brasileiro

  • Primeiro, um artigo sobre a historia do conto. Ele foi escrito para a filha de Griaule que é um antropologo especializado em conto. Mas apenas alguns paginas são interessantes para o topico: pagina 2 para a pagina 4. Eu copiei o passagem para uma melhor legibilidade:

« Mais qu'en est-il du Brésil ? Peut-on appliquer à la réalité “afro-brésilienne le même aphorisme d'A. Hampâté Bâ ? Au départ, parmi les esclaves, il n'y avait pas de “vieillards”, donc pas de “bibliothèques vivantes” susceptibles d'assurer la vie et la survie de la culture africaine. De plus, le terme “tradition”, impliquant par définition un transfert “spatio-temporel” de l'expérience du groupe, est-il applicable à la réalité afro-brésilienne, alors même qu'à l'origine il n'y avait pas de communauté pré-constituée, mais plutôt une communauté de malheur entre individus délibérément dissociés de leurs congénères ? Au Brésil, “vie” et “survie” ne pouvaient pas avoir le même sens qu'en Afrique; l'esclave noir, battu, enchaîné, condamné à la servitude, devait, d'abord et surtout, vivre et survivre en tant qu'individu et concentrer toutes ses énergies pour recouvrer sa dignité d'être humain. Une “tradition orale”, si elle existait ne pouvait être, en quelque sorte, que “détournée” de sa visée africaine de départ, orientée vers une “vie” et une “survie” nouvelles et différentes dans leur contenu. Or, il ne fait aucun doute qu'il a existé et qu'il existe aujourd'hui au Brésil une tradition orale bien vivante, aux sources franchement africaines, et qui constitue un véritable héritage de connaissances de tous ordres, transmis de bouche à oreille à travers les siècles, en dépit d'un contexte particulièrement hostile et d'un déracinement brutal dus à l'esclavage. Cet héritage est constitué d'innombrables “paroles organisées” : formules rituelles, prières, chants, contes, proverbes, devinettes … certaines dans une langue africaine, d'autres, les plus nombreuses, en portugais. A travers ces “paroles”, c'est bien une “âme” africaine qui a survécu et qui vit aujourd'hui encore au Brésil. Face à cet héritage, on peut adopter deux attitudes diamétralement opposées, analogues à celles que l'on peut adopter face à une bouteille moitié pleine ou moitié vide. On peut d'un côté craindre et regretter une perte irréparable de ces “paroles”. Nous-même avons ressenti cette inquiétude lorsque, voulant mener une enquête sur l'héritage “gurunsi” - domaine privilégié de nos travaux antérieurs en Afrique de l'Ouest - il nous fut répondu que la présence des Gurunsi à Salvador de Bahia avait pris fin vers les années 30. Nous n'avons pas pu vérifier cette information et nous espérons toujours trouver quelque part des descendants de ces “gurunsi” dont Nina Rodrigues à la fin du siècle dernier a recueilli 120 mots et dont Deoscoredes dos Santos a publié deux contes en 1961. Il est certain que maintes “paroles” extrêmement précieuses ont disparu et risquent de disparaître à jamais avec la disparition des communautés dont elles sont issues, comme ce fut le cas des “negros malês” (noirs islamisés d'origine peule et haussa) disparus à la fin du siècle dernier. Soit l'exemple des contes, qui ont fait l'objet de quelques recueils assez récents, en particulier : Os mitos africanos no Brasil, recueil de 55 contes publié en 1937 par Souza Carneiro ; Contos negros da Bahia, un recueil de 3O contes, publié en 1961 par Deoscoredes M. dos Santos ; Contos crioulos da Bahia, recueil de 22 contes, du même auteur publié en 1976 ; Lendas africanas dos Orixas, recueil de 24 contes, publié en 1985 par P.F.Verger. C'est peu, trop peu, car, nous en sommes certain, les contes d'origine africaine et ceux qu'on peut classer comme “afro-brésiliens” pourraient s'évaluer à des milliers. Les recueils cités ne concernent d'ailleurs que les contes attestés dans l'Etat de Bahia, et ils se limitent de surcroît à la tradition orale yoruba, à l'exception du recueil de Souza Carneiro qui comporte 8 contes “hausa” et une quarantaine de contes “bantu”. Or, c'est bien Souza Carneiro, qui dans son texte rédigé il y a cinquante ans, signalait l'existence de “spécialistes” (les “akalô”) de la tradition orale, qui, déjà à cette époque, étaient devenus rares. Le passage relatif à cette affirmation mérite d'être cité en raison de l'ancienneté du texte et du fait que ce travail est pratiquement inconnu : “Celui qui entre en contact avec un acalô - akpalô en yoruba - est obligé de reconnaître en lui une encyclopédie vivante : il décrit l'histoire de son peuple et relate, toujours avec les mêmes mots, les mêmes gestes, la même voix, la même musique et les mêmes cadences ce que lui ont transmis ses aînés et les autres acalôs. Dans les candomblés (=cultes afro-brésiliens), on rencontre de ces hommes à la mémoire prodigieuse, … éduqués depuis le bas âge comme s'ils étaient nés en Afrique, parlant la langue paternelle, connaissant les mystères du Fétichisme, initiés … mais rares aujourd'hui…”( S. Carneiro, 1937 : 125). Le danger d'une perte irréparable est donc bien réel au Brésil aussi. La collecte des textes oraux est urgente. Malheureusement elle est à peine commencée, et menée, hélas! d'une manière peu systématique ou pas suffisamment rigoureuse. Pourquoi une telle lenteur dans la collecte ? Négligence ? Nous ne le croyons pas. La raison est ailleurs et elle est imputable à la spécificité même de la tradition orale afro-brésilienne, ce qui nous renvoie à la seconde attitude que l'on peut également adopter face à ce type de matériaux. On peut en effet considérer la tradition orale attestée actuellement au Brésil comme une incomparable réussite d'une volonté individuelle et collective de s'imposer à un milieu particulièrement hostile, car les Noirs sont parvenus à sauvegarder leurs croyances et leurs sensibilités, à rester eux-mêmes malgré tout, et, mieux encore, à rendre leurs croyances attrayantes aux yeux de ceux-là mêmes qui, de par leur culture, sont les descendants directs de leurs anciens maîtres. D'où la prolifération actuelle des cultes afro-brésiliens, véritables centre culturels africains au Brésil. Dans ce contexte et contrairement aux apparences, la tradition orale, telle qu'elle a pris forme au Brésil, n'est pas un résidu délabré de l'une ou l'autre des traditions orales d'Afrique importées au Brésil au hasard de l'esclavage, résidu fait de discontinuités et d'incomplétudes, mais plutôt un dispositif qui, au contraire, a su garder l'essentiel de la tradition orale africaine. Il est légitime même de formuler une hypothèse : du fait qu'elle a su survivre au cyclone de l'esclavage, la tradition orale afro-brésilienne, porterait en elle les traits stables de la tradition orale africaine, ceux qui peuvent résister à l'épreuve de l'espace et du temps, en un mot l'invariance nécessaire et suffisante pour qu'une tradition reste “vivante” en dépit des vicissitudes de l'histoire. Elle constituerait ainsi une sorte de prototype évolutif vers lequel pourrait d'ailleurs évoluer la tradition orale africaine d'aujourd'hui, confrontée aux problèmes posés par sa rencontre inéluctable avec la modernité. Dans ce cas, la crainte de “pertes irréparables” serait infondée. Qu'en est-il au juste ? Quelle est l'identité réelle de la tradition orale afro-brésilienne ? A notre avis elle se caractérise par le fait, d'une part, qu'elle repose sur un dispositif solidement ancré dans la valeur accordée à la notion de Parole et au Sacré, d'autre part, qu'elle évolue constamment entre deux pôles, le maintien du passé et l'innovation dans le présent. » Bonvini E., Tradition orale afro-brésilienne. Les raisons d'une vitalité. in 1024, U., Graines de parole,puissance du verbe et traditions orales. Textes offerts à Geneviève Calame-Griaule. Paris : URA 1024, 1989, p.2-9.

http://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:sB9vSNCvsO0J:www.fflch.usp.br/dl/gela/downloads/Texto%2520Bonvini.doc+conte+bresil&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESiJ90UXk_PL8AbFU4eH9hQImJaENCkRfDR-kVrUXXC3gkpVUdsepBiFvWYnRlLRH8KXMIx8Z-XdH-g6si77ttqu8vPoxpSqhq19yBAtywqbITqv38oVZHDmNMctJS5jHqdCtFIK&sig=AHIEtbRf3sPk1HN53I6MnYuOrHHxmnSN3Q

(link verificado: 24.04.11)

O conto e a identidade national brasileira

  • Um outro artigo sobre a construção de um identitade national através o conto com o autor Silvio Romero e sua obra. Era impossivel de copiar o texto, portanto para ler lhe devemos abrir o link:

http://books.google.fr/books?id=nLpVrlTde90C&pg=PA79&lpg=PA79&dq=conte+bresil&source=bl&ots=t7Cokhpfta&sig=kSzxD2K7WjMvjWobRmWcD8DRBfU&hl=fr&ei=SeZbTemyOIuDhQful5CnDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CBcQ6AEwADg8#v=onepage&q&f=false

(link verificado: 24.04.11)

O conto no Brasil hoje

Um artigo final sobre o conto brasileiro. Ele é em francês, mas é interessante ainda!

Ana Maria Machado, 2010, Le conte brésilien contemporain, Synergies Brésil n° spécial 2, pp. 37-40.

Origem da Internet: http://ressources-cla.univ-fcomte.fr/gerflint/Bresil_special2/machado.pdf

(link verificado: 24.04.11)

Algumas contos

Um conto muito celebre: o Saci Pererê

  • Ai esta o conto muito celebre narrado por Muriel Bloch a respeito de feiticeiro, o Saci Pererê:

:mobilite:brasil:saci_perere_par_muriel_bloch.mp3

Origem da Internet: http://www.telerama.fr/livre/rendez-vous-conte-3-le-saci-perere-conte-par-muriel-bloch,38016.php (link verificado: 24.04.11)

  • «O Saci-Pererê é uma lenda do folclore brasileiro e originou-se entre as tribos indígenas do sul do Brasil.

O saci possui apenas uma perna, usa um gorro vermelho e sempre está com um cachimbo na boca. Inicialmente, o saci era retratado como um curumim endiabrado, com duas pernas, cor morena, além de possuir um rabo típico.

Com a influência da mitologia africana, o saci se transformou em um negrinho que perdeu a perna lutando capoeira, além disso, herdou o pito, uma espécie de cachimbo e ganhou da mitologia européia, um gorrinho vermelho. A principal característica do saci é a travessura, muito brincalhão ele se diverte com os animais e com as pessoas, muito moleque ele acaba causando transtornos como: fazer o feijão queimar, esconder objetos, jogar os dedais das costureiras em buracos e etc.

Segundo a lenda, o Saci está nos redemoinhos de vento e pode ser capturado jogando uma peneira sobre os redemoinhos. Após a captura, deve-se retirar o capuz da criatura para garantir sua obediência e prendê-lo em uma garrafa. Diz também a lenda, que os Sacis nascem em brotos de bambus, nestes eles vivem sete anos e após esse tempo, vivem mais setenta e sete para atentar a vida dos humanos e animais, depois morrem e viram um cogumelo venenoso ou uma orelha de pau.»

Texto de Brasilescola.com

Origem da Internet: http://www.brasilescola.com/folclore/saci-perere.htm , link verificado: 24.04.11

Isso é o filme sobre o Saci: - “Somos todos Sacys” Direção: Rudá K. Andrade e Sylvio do Amaral Rocha Ano: 2005

Origem da Internet: http://www.youtube.com/watch?v=J4MojADg49U , (link verificado: 24.04.11)


A lenda da Cuca

Um outro personagem muito celebre do folclore brasileiro é a cuca: presente em contos ou em lendas, a cuca pertence ao imaginario popular.

  • Primeiro, um muito interessante sitio arespeito da origem da cuca et sua descrição:

http://www.suapesquisa.com/folclorebrasileiro/lenda_cuca.htm (link verificado: 24.04.11)

  • A cuca em imagem !

Origem da Internet: http://lenitabedetti.blogspot.com/2010/08/blog-post_73.html , (link verificado: 24.04.11)

  • E agora (José?) um canção sobre a cuca de Cassia Eller. Eu copio as palavras se você quer cantar.

« Cuidado Com a Cuca Que a Cuca te pega Te pega daqui, Te pega de lá

A Cuca é malvada E se fica irritada A Cuca zangada Cuidado com ela A Cuca é matreira

E se fica zangada A Cuca é danada Cuidado com ela Cuidado com a Cuca Que a Cuca te pega Te pega daqui, Te de lá

A Cuca é malvada E se fica irritada A Cuca zangada Cuidado com ela.

Cuidado com a Cuca Que a Cuca te pega A Cuca é danada Ela vai te pegar »

Cassia Eller

Origem da Internet: http://www.suapesquisa.com/folclorebrasileiro/lenda_cuca.htm , (link verificado: 24.04.11)

N.B.: A bruxa do filme sobre o saci que pega lhe é pode ser a cuca porque ele é muitas vezes representada como a bruxa.

Um conto regional do nordeste: o Menino e o Padre

Um padre andava pelo sertão, e certa vez com muita sede, aproximou-se duma cabana, e chamou por alguém de dentro.

Veio então lhe atender, um menino muito mirrado.

- Bom dia meu filho, você não tem por aí uma aguinha aqui pro padre?

- Água tem não senhor, aqui só tem um pote cheio de garapa de açúcar, se o senhor quiser… - disse o menino.

- Serve, vá buscar. - pediu-lhe o padre.

E o menino trouxe a garapa dentro de uma cabaça. O padre bebeu bastante e o menino ofereceu mais. Meio desconfiado, mas como estava com muita sede o padre aceitou.

Depois de beber, o padre curioso perguntou ao menino:

- Me diga uma coisa, sua mãe não vai brigar com você por causa dessa garapa?

O Menino:

- Briga não senhor. Ela não quer mais essa garapa, porque tinha uma barata morta dentro do pote.

Surpreso e revoltado, o padre atirou a cabaça no chão e esta quebrou-se em mil pedaços, e exclamou:

- Moleque danado, por que não me avisou antes?

O menino olhou desesperado para o padre, e então disse em tom de lamento:

- Agora sim eu vou levar uma surra das grandes, o senhor acaba de quebrar a cabacinha de vovó fazer xixi dentro!

Conto regional do nordeste, muito conhecido em todo interior de Pernambuco ao Maranhão. Origem desconhecida.

Origem da Internet: http://sitededicas.uol.com.br/ct04a.htm , (link verificado: 24.04.11)


Um engraçado conto: O Menino o Burro e o Cachorro !

Um menino foi buscar lenha na floresta com seu burrico e levou junto seu cachorro de estimação.

Chegando no meio da mata, o menino juntou um grande feixe de lenha, olhou para o burro, e exclamou:

- Vou colocar uma carga de lenha de lascar nesse burro!

Então o Jumento virou-se para ele e respondeu:

- É Claro, não é você quem vai levar!

O Menino muito admirado com o fato de ter o burro falado, correu e foi direto contar tudo ao seu pai. Ao chegar em casa, quase sem fôlego, ele disse:

- Pai, eu estava na mata juntando lenha, e depois de preparar uma carga para trazer, quando eu disse que ia colocá-la na garupa do burro, acredite se quiser, ele se virou para mim e disse: “É Claro, não é você quem vai levar!”

O Pai do menino, olhou-o de cima para baixo, e meio desconfiado o repreendeu:

Você está dando para mentir agora. Onde já se viu tal absurdo, animais não falam!

Nesse momento, o cachorro que estava ali presente, saiu em defesa do garoto e falou:

Foi verdade, eu também estava lá e vi tudinho!

Assustado o pobre camponês, julgando que o animal estivesse endiabrado, pegou um machado que estava encostado na parede e o ergueu para ameaçá-lo.

Nesse momento, aconteceu algo ainda mais curioso. O machado começou a tremer em suas mãos, e de dentro dele saiu uma voz que soava temerosa:

O senhor tenha cuidado, esse cachorro pode me morder!

Nota: Conto popular no Nordeste sendo de origem desconhecida.

Origem da Internet: http://sitededicas.uol.com.br/ct05b.htm , (link verificado: 24.04.11)


Os mais celebres personagens do folclore brasileiro

Origem da Internet: http://www.youtube.com/watch?v=ZluM7jTUP5o , (link verificado: 24.04.11)

Um filme muito brincalhão com:

Em ordem:

A mula sem cabeça

Seu nome é explicito.

O curupira

O curupira é muitas vezes representado com o saci.

« O curupira é descrito como um menino de estatura baixa, cabelos cor de fogo e pés com calcanhares para frente que confundem os caçadores. » Para ler mais, o origem da Internet: http://www.brasilescola.com/historiab/curupira.htm , (link verificado: 24.04.11)

O boto rosa

O boto rosa é a lenda inspirada por um verdade animal.

« De acordo com a lenda, um boto cor-de-rosa sai dos rios nas noites de festa junina. Com um poder especial, consegue se transformar num lindo jovem vestido com roupa social branca. Ele usa um chapéu branco para encobrir o rosto e disfarçar o nariz grande. Com seu jeito galanteador e falante, o boto aproxima-se das jovens desacompanhadas, seduzindo-as. Logo após, consegue convencer as mulheres para um passeio no fundo do rio, local onde costuma engravidá-las. Na manhã seguinte volta a se transformar no boto. » Origem da Internet: http://www.suapesquisa.com/folclorebrasileiro/lenda_boto.htm , (link verificado: 24.04.11)

Bumba meu boi

A bumba é uma dança, mas eu copiei a historia:

« A festa do Bumba Meu Boi constitui uma espécie de ópera popular. Basicamente, a história se desenvolve em torno de um rico fazendeiro que tem um boi muito bonito. Esse boi, que inclusive sabe dançar, é roubado por Pai Chico, trabalhador da fazenda, para satisfazer a sua mulher Catirina, que está grávida e sente desejo de comer a língua do boi. O fazendeiro manda os vaqueiros e os índios procurarem o boi. Quando o encontram, ele está doente, e os pajés são chamados para curá-lo. Depois de muitas tentativas, o boi finalmente é curado, e o fazendeiro, ao saber do motivo do roubo, perdoa Pai Chico e Catirina, encerrando a representação com uma grande festa. » Para saber mais, o link: http://www.brazilsite.com.br/teatro/teat02a.htm , (link verificado: 24.04.11)

O boitata

O boitata é um monstro, uma mistura de fogo e de cobra.

A sereia

A sereia é um mesmo personagem que na Europa.

O saci

O Saci é uma lenda que você conhece bem agora: jà aqui

E finalmente, uma poesia sobre o saci!

A bibliografia total