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[[http://www.google.fr/|GOOGLE]a beaucoup travaillé sur son système de crawl et d'indexation, afin d'arriver à avoir un index à la fois très grand et récemment mis à jour (&quot;frais&quot; comme ils disent). Google dit également s'être amélioré dans la compréhension des concepts abordés sur les pages web, même si certains mots-clés n'y figurent pas. On sait que cela peut venir de l'analyse du profil du <a href=“http://seminaires.ranking-metrics.fr/formation-referencement-module-b.php” hreflang=“fr”>netlinking</a> des pages (et du site). Cela peut venir également de nombreuses autres analyses, que l'ingénieur de Google ne détaille pas ici bien entendu. Google peut très bien par exemple déterminer le lieu géographique associé à un site (si c'est pertinent) et positionner ses pages en bonne place parmi les résultats sur des requêtes incluant ce lieu, même s'il ne figure pas dans le texte de la page.</p> <p>Le dernier point-clé réside dans l'analyse des internautes eux-mêmes, en plus de leur requête. L'idée est d'arriver à mieux comprendre ce qu'ils ont en tête quand ils font leurs recherches. Un des points essentiels est la prise en compte du pays dans lequel se trouve l'internaute (et/ou de l'interface de Google qu'il utilise : google.fr ? google.com ? google.be ? etc.). Une même requête doit être traitée de façon différente par Google selon ces cas de figure. Amit Singhal prend un exemple pour les francophones : un Français qui tape [Côte d'Or] cherche a priori des informations sur le département du même nom, tandis qu'un Belge (ou un français gourmand) s'intéresse plutôt à la marque de chocolat du même nom. </p>

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