Synthèse : Violence urbaines dans les banlieues françaises

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Violence urbaines dans les banlieues françaises :
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Bruno est l’auteur de cette discussion. En choisissant ce sujet sur les violences urbaines en France, il a voulu récolter diverses opinions sur les trois valeurs principales de la France : « liberté, égalité, fraternité ». Suite aux violences de novembre 2005 il est intéressant de parler de ce sujet et d’essayer de trouver des raisons excusant ses actes et de mesurer les répercussions de l’Etat. De plus, Il est intéressant de définir la place de la presse dans ce genre d’événement en France. Après avoir lu les différents commentaires des huit personnes, on peut dire que les trois valeurs de la France ne sont plus d’actualité car ils ont de nos jours beaucoup moins de sens dans la société et qu’il y a effectivement une différence entre la population et que le système d’égalité des chances n’est pas le même pour tous. Selon différents auteurs, les événements de Novembre 2005 à Paris sont inexcusables mais ont servi à la population car ils ont permis plus d’attention venant de l’Etat français. De nos jours, en France mais aussi dans plusieurs pays, nous assistons à une discrimination, qu’elle soit professionnelle ou privée, dans la société. Concernant la presse et l’image de la France dans les autres pays, la majorité pense que la France est un pays stable, sans problèmes majeurs qui affectent la population. Mais le chômage ne cesse d’augmenter et affecte une grande partie de la population ce qui montre que le pays ne va pas si bien que le montre la presse. Un des auteurs de commentaires a cité l’auteur Milan Kundera : « si les français parlent autant et écrivent autant c’est qu’il ne se passe rien dans leurs pays ». Ce qui montre que l’image de la France n’est pas ébranlée par la crise du chômage ou par les émeutes en banlieues. Selon les trois derniers auteurs, les événements en banlieues ont été pris trop à la légère et qu’il y a un risque de récidive car l’Etat n’a pas pris des mesures adéquates pour résoudre ces problèmes. Pour conclure, on peut dire que ces événements ne sont que le début du mal-être de notre pays car les problèmes ne se limitent pas aux banlieues mais par exemple touche tout le milieu étudiant par les grèves répétées de ces deux dernières années.

Hassaouan Najla